dimanche 4 octobre 2009

Un de plus...

Et voilà… Ce qui devait arriver arriva… Tel des inséparables tu le rejoins déjà… Le goût salin des mes pleurs m’arrive aux lèvres alors que de bons souvenirs me reviennent en mémoire. Pourquoi déjà ? C’est bien trop tôt, c’est bien trop triste… Ils nous restaient tellement à vivre… J’avais tellement à raconter. Ma gorge se sert à l’instar de mon cœur, sensation trop familière.

Mon pas, hésitant, se rythme aux grés de mes respirations saccadées pendant que j’erre dans la pièce… Une lumière semblait s’être éteinte dans mon esprit, créant une impression de vide, comme si je tombais de haut. Mon estomac se tord, je titube. Vous me manquez.

Rien que d’y penser, mon nez me pique de plus belle. Je ne suis pas le seul à être peiné de votre départ, et les savoir tristes m’arrache le semblant de sourire qui pourrait s’esquisser sur mes lèvres rougies. Vous continuerez à subsister dans mon être tant que mes souvenirs me resteront en mémoire. En quelques sortes, vous êtes à moitié mort. C’est horrible comme idée.

Je m’abandonne à mes pleurs, laissant mon esprit se calmer…

2 commentaires:

  1. J'aime beaucoup tes écrits.
    Félicitation,

    Cordialement

    RépondreSupprimer
  2. c fabuleux comme l'homme peut se surpasser surtout quand il aime
    bravo

    RépondreSupprimer